Le toucher sous une forme oubliée

Le toucher sous une forme oubliée

Ne serions-nous pas immergés dans un bain d’ondes ? Les ondes lumineuses nous entourent et sont chargées d’énergies, les ondes sonores baignent dans l’air et le vide comme peuvent en justifier les cosmonautes, les ondes tactiles sont alors des ondes comme les autres et ainsi pour les cinq sens. Les ondes tactiles sont des produits du corps (astre, être ou végétal, minéral : ondes radioactives etc…). Elles proviennent d’un geste dirigé par le cerveau pour les êtres ou par une source de vie pour les astres et les végétaux mais peuvent être dérivées d’un réflexe si le cerveau n’a pas été impliqué en totalité chez les êtres dotés de cette fonction.
Les ondes tactiles tiennent compte du corps et de la cible qui peut être multiple, et sont de qualité telle que les émotions de l’émetteur peuvent être reproduites chez le récepteur par une induction quasi-adéquate qui répond par un type d’émotion dérivé du geste tactile de l’émetteur en fonction de la palette d’émotion du récepteur, qu’il a déjà utilisée ou non. La volonté de l’émetteur peut correspondre à la volonté du récepteur mais peut aussi être différente si l’intimité n’est pas certaine.
L’ignorance peut pousser certains à dire que l’on ne peut s’exprimer que par oral, écrit ou gestuellement mais il existe une autre forme d’expression qui est celle qui utilise l’acte de dire sans ouvrir les lèvres mais en se servant de la perméabilité du crâne et surtout de la peau comme membrane de haut-parleur. La force utilisée pour s’exprimer est celle du souffle mais les fréquences d’émission sont d’un registre plus « discret » si l’on n’additionne pas le geste d’expression d’une force tactile comme le souffle d’une conversation criée à bout portant.
Ces conversations ainsi que les conversations classiques sont véhiculées par le médium de l’air ou dans le vide (prières etc…) par le phénomène des parloirs quand les distances sont éloignées ou très éloignées mais aussi quand les discussions sont proches mais traversant les murs, les fenêtres, les meubles et les portes… et ne sont pas toujours dirigées vers un seul être mais souvent vers un groupe d’êtres ainsi qu’aux « oreilles » des planètes qui gèrent nos populations sur le plan sociable quand elles ne sont pas débordées par des dictateurs voulant ressembler par trop au soleil.
Définir ces notions relève de l’impertinence vis-à-vis des grands paranoïaques qui ont défini la psychologie sans ces phénomènes et qui imposent leurs visions erronées quitte à se damner et à damner les autres mais la science ne saurait se perdre dans les chemins sans issues tracés par ces fous qui ne sont que des imposteurs mal élevés. Donc on peut utiliser les travaux des autres civilisations qui ont décrits les phénomènes exposés au-dessus et qui doivent s’attrister de voir que l’on ne peut vivre librement dans nos civilisations occidentales athées.
La protection de soi relève encore de l’empirisme dans notre monde en pleine révolution mais déjà des soins peuvent être promulgués à distance, et des conseils et des mises en gardes peuvent être mis en œuvre par le truchement des ententes tactiles éloignées mais bien sûr on ne saurait éviter les contacts dissonants à l’heure actuelle faute d’une éducation sur les procédés tactiles distants, à travers desquels peuvent s’épanouir des sentiments tels que l’amour et l’amitié, formes positives de nourritures corporo-psychiques ou même l’aversion si certaines rencontres ne sont pas bénéficiaires.

 Isabelle Seytor et pairs in the air